C'était un soir d'automne et il a longtemps gardé mes polas dans sa main après les avoir regardés. Il m'a dit de cesser de les enfermer dans une boîte. Alors j'en fais des carnets. Mais sans son regard, c'est comme si ces photos ne vivaient pas.
7 commentaires:
Anonyme
a dit…
Mince Gwen, tu viens de me filer le cafard alors que je viens juste de me réveiller! Pas très bon pour commencer une journée de révision enfermé dans mon appart! Rassure toi elles vivent maintenant par le regard de tes lecteurs...Maigre consolation du reste...
7 commentaires:
Mince Gwen, tu viens de me filer le cafard alors que je viens juste de me réveiller!
Pas très bon pour commencer une journée de révision enfermé dans mon appart!
Rassure toi elles vivent maintenant par le regard de tes lecteurs...Maigre consolation du reste...
Immense consolation.
C'est très gentil!
Rien d'étonnant, Gwen à le cour sur la main (clin d'œil à ton self portrait).
là
il pense à Odaiba
à la Sumida tourmentée
à la confiance qu'il devrait avoir
en ce Ciel qui ne la reflète pas.
dans les assombries,
à toutes ces villes
qui vous appartiennent,
à vous écrivaine
et voyageuse,
à vos carnets de sel,
de la colle encore
sur vos mains.
Pays de Neige
ben, t'as bien raison de leur faire prendre l'air a tes polas. Et puis aussi ton leica de 15kg, il faut s'en servir plus souvent.
non, decidement les boites ne leur vont pas.
et derriere l'ecran, nous on dit : "encore!!"
Moi, elles m'ont l'air bien vivantes, pourtant...
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