La province
La matinée avait pourtant été ensoleillée et idéalement accompagnée. Les sobas parfaites et la conversation passionnante et passionnée.
Et puis.
Et puis il s'est mis à pleuvoir et, restée seule à Kamakura, j'ai soudain eu l'impression d'être dans une petite ville de province ennuyeuse et un peu étriquée...
Tokyo m'a manquée comme si je l'avais quittée depuis quelques jours déjà. Alors, aussitôt, j'ai repris le train avec le bonheur, incomparable, de rentrer chez moi.
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