Il suffit, pour cela, que, à pied ou à vélo, je monte à Sugamo et que je rentre dans la pâtisserie du bout de la rue, là où la dame me sourit toujours.
Donc. Au bout de la rue à Sugamo. Si j'arrive par l'autre bout, j'en profite généralement pour manger un kibidango (là aussi, les vendeuses me connaissent, me sourient et m'offrent une tasse de thé) ou une glace, parfois.
Enfin, dans tous les cas, après être allée à la pâtisserie, je passe chez le marchand de fruits et légumes d'où je ressors les bras chargés de pommes, de kakis, de bananes et de figues.
Le kabocha, je le mixe à la banane de mon tofu du matin, avec un peu de cannelle. Ou je le mange en cubes, nature ou trempé dans le miso. Avec des mochis grillés. Ou alors en gâteau, avec des pommes, pour mes petits déj du vendredi.
vraiment no comment : messagerie plantée, impossible d'é-cri-re pour le moment car 'erreur tem-po-rai-re 999' ça sonne comme doomed 666 alors debout, aller en cuisine, y aura-t-il un kibidango d'ookami non rien de ça ici, no comment. Changer la vie ... il y a des jours il y a des jours ... no comment.
Souvent je reste silencieuse, par timidité. Alors que j'ai relu cent vingt mille fois la phrase sur les dimanches adolescents. Bon, on va dire que le coup du macaron silencieux va me faire parler plus facilement!
Bonjour Gwen ... et bravo pour vos commentaires pertinents et votre billet plein d'humour ;)) Je passe souvent chez vous, j'aime beaucoup vous lire ... mais, comme beaucoup, je ne laisse pas de commentaire, ce qui fait que je me sens un peu concernée ... Bonne continuation. Domi
ah ah pas bête le coup des commentaires !! et pourquoi je ne peux plus m'identifier reste un mystère... Nous on mange une tarte à la sardine, j'aurais bien pris un manju en dessert...
Une Gwen à une autre: j'aime beaucoup vos ambiances très urbaines, les pages de lectures, les bols que vous vous préparez aux saveurs inconnues. Les self portraits aussi. Les vêtements colorés. Voilà, c'était une petite incursion de Marseille jusqu'à Tokio!
Bon, j'ai compris la leçon : vos commentaires se méritent !!! Merci à vous, qui avez profité de cette occasion pour signer votre lecture. ça me fait TRES plaisir !!!
Je découvre ton blog à mon tour. Quel bel univers ! Moi qui suis fan du japon (sans jamais y être allée) je pourrai y passer des heures... et ce petit gâteau il a l'air divin ! Qu'est-ce que j'aimerai avoir une pâtisserie comme celle-ci à côté de chez moi :-)
26 commentaires:
Après tant de billets sans aucun commentaire, je me dis que, si j'en veux, après tout, je peux en écrire moi-même !
Cette histoire sans parole se déroule au soleil de mon balcon.
C'est une histoire qui peut se répéter à l'infini et à n'importe quel moment de la journée.
Il suffit, pour cela, que, à pied ou à vélo, je monte à Sugamo et que je rentre dans la pâtisserie du bout de la rue, là où la dame me sourit toujours.
Euh... ça, ce n'est pas une très bonne description de l'endroit : à Sugamo, on me sourit toujours partout !
(ailleurs très souvent aussi...)
Enfin bon, c'est au bout de la rue et c'est une bonne pâtisserie.
Je dis ça mais comment en être sûre ???
Comme je suis monomaniaque, j'y achète toujours la même chose !!!!
Donc. Au bout de la rue à Sugamo.
Si j'arrive par l'autre bout, j'en profite généralement pour manger un kibidango (là aussi, les vendeuses me connaissent, me sourient et m'offrent une tasse de thé) ou une glace, parfois.
Enfin, dans tous les cas, après être allée à la pâtisserie, je passe chez le marchand de fruits et légumes d'où je ressors les bras chargés de pommes, de kakis, de bananes et de figues.
Et de kabocha.
Le kabocha, je le mixe à la banane de mon tofu du matin, avec un peu de cannelle. Ou je le mange en cubes, nature ou trempé dans le miso. Avec des mochis grillés. Ou alors en gâteau, avec des pommes, pour mes petits déj du vendredi.
Ou bien, quand je vais à la pâtisserie de Sugamo, comme on le voit sur la photo : en manju.
Les manjus, ce sont des espèces de petits pains cuits à la vapeur.
C'est fin, ça se mange sans faim.
Et sans fin.
Si jamais la réincarnation existe, j'ai une idée de ce que je vais devenir !
vraiment no comment : messagerie plantée, impossible d'é-cri-re pour le moment car 'erreur tem-po-rai-re 999' ça sonne comme doomed 666 alors debout, aller en cuisine, y aura-t-il un kibidango d'ookami non rien de ça ici, no comment. Changer la vie ... il y a des jours il y a des jours ... no comment.
Le problème c'est que si tu prends un autre type de manju, il risque de ne plus être assorti à ta nappe...
Souvent je reste silencieuse, par timidité.
Alors que j'ai relu cent vingt mille fois la phrase sur les dimanches adolescents.
Bon, on va dire que le coup du macaron silencieux va me faire parler plus facilement!
Bonjour Gwen ... et bravo pour vos commentaires pertinents et votre billet plein d'humour ;))
Je passe souvent chez vous, j'aime beaucoup vous lire ... mais, comme beaucoup, je ne laisse pas de commentaire, ce qui fait que je me sens un peu concernée ...
Bonne continuation.
Domi
You cruel girl you ! what shall i do now, dance in front of my computer screen for your yummy cakes to pop out ?
ah ah pas bête le coup des commentaires !!
et pourquoi je ne peux plus m'identifier reste un mystère... Nous on mange une tarte à la sardine, j'aurais bien pris un manju en dessert...
Une Gwen à une autre:
j'aime beaucoup vos ambiances très urbaines, les pages de lectures, les bols que vous vous préparez aux saveurs inconnues.
Les self portraits aussi.
Les vêtements colorés.
Voilà, c'était une petite incursion de Marseille jusqu'à Tokio!
Bon, j'ai compris la leçon : vos commentaires se méritent !!!
Merci à vous, qui avez profité de cette occasion pour signer votre lecture. ça me fait TRES plaisir !!!
j'ai vu 24 commentaires ! j'ai pensé "évidement c'est de la bouffe , il y a toujours à dire !!!" ho surprise ! .... que de la Gwen !
odilon.
Je découvre ton blog à mon tour. Quel bel univers !
Moi qui suis fan du japon (sans jamais y être allée) je pourrai y passer des heures... et ce petit gâteau il a l'air divin ! Qu'est-ce que j'aimerai avoir une pâtisserie comme celle-ci à côté de chez moi :-)
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