12.7.09

Le refus de la banalité

"Je n'arrive pas à entendre que faire un travail qu'on n'aime pas pendant 40 ans, ça peut être ça la vie.
Je ne ferai rien dans ma vie que je ne veux pas faire. Je préférerai crever.
Donc je refuse tout ennui possible. S'il y a une chose sur laquelle je ne lâche pas, c'est la notion de banalité.
C'est là que je parle d'intégrité, de souveraineté.
Nécessairement, si on va vers ses désirs, sa propre poésie, on devient seul et c'est une solitude formidable : on devient unique.
Mais rien n'encourage à ça."

Une semaine d'entretiens avec Wajdi Mouawad est à écouter ICI.

2 commentaires:

la lectrice de l'apres-midi a dit…

Je suis une lectrice de ton blog depuis un mois environ, j'adore ton écriture et tes photos. Je découvre le Japon et d'autres contrées mentales ainsi. Merci donc pour ce blog et pour ton regard ici retracé.
Bonne journée

Gwen a dit…

... Et merci à toi d'être lectrice...
C'est drôle, cette formule "le Japon et d'autres contrées mentales" qui va dans le sens de ce qu'en dit Alberto Torres Blandina, l'auteur de "Le Japon n'existe pas" !!!