Sous le ciel de Kôbe
C'est comme si, dans l'espace des avenues larges, le ciel respirait mieux.
La ville est ordinaire au ras des trottoirs.
Une ville de province charmante et désordonnée, un peu gamine et toujours gaie.
Mais qui, quand on lève un peu les yeux, se métamorphose en décor de carton en deux dimensions.
Comme une toile sans fin aux aplats colorés, superposés.
Kôbe est un rêve de peintre.
2 commentaires:
C'est la que sont nes Haruki Murakami et Kiyoshi Kurosawa!
Repenser ici aux dernières pages de Sarinagara aussi ; Kobe ville de toutes les réminiscences, ville miroir, je croyais y voir un morceau de la Sumida, un port un peu celui d'Odaiba. Oui,il me reste toujours du sable dans le fond des poches ...
Pays de Neige.
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