Les heures vacantes
Il y avait cette injustice.
Ils étaient tellement rares ces jours où la nouvelle se propageait, d'abord rumeur puis cri de joie.
Ces jours où on apprenait que le prof était absent.
Et on avait à peine le temps de se réjouir que l'heure ordinairement consacrée à la physique, à l'anglais, aux maths et si souvent à l'ennui...
Cette heure ordinairement longue et lente...
Cette heure était finie, avait filé.
A une vitesse inexplicable.
Et parfaitement scandaleuse.
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