Walk on the wild side
J'aime bien, parfois, passer du temps dans les grands magasins.
Mais alors le lundi soir, à rebours.
Si je savais lire, je ressortirais les bras lourds de la librairie du septième.
Mais je ne sais pas, je repars avec des carnets.
(Tout est toujours à inventer)
Au retour, des sprints pour n'attendre à aucun feu sans en griller.
La sakura dori d'un bout à l'autre et sans les freins.
Des photos sans m'arrêter. Ni de pédaler. Ni de chanter.
(Lou Reed donne le ton)
1 commentaire:
mais enfin, c'est à cause de gens comme toi qui accélèrent pour ne pas attendre aux feux que je risque ma vie à chaque fois que je traverse sans regarder ! uhuh :))
(j'ouvre de grands yeux à chaque fois que je me perds par ici, c'est... juste très beau, voilà.)
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